Résumé :
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Le régiment passe ; voici des officiers français : leurs guêtres sont couvertes de poussière ou de boue, mais malgré la fatigue ils portent l'uniforme avec une aisance coquette. Cela fait plaisir à voir après ces gueux d'officiers de la Commune, trinquant sur le comptoir avec quelque sergent, gueux déguisés en soldats, et qui transforment en guenille l'uniforme dont on les a affublés: le pantalon en vrille, le sabre dans les jambes, le ceinturon pendant sur une capote trop large, le képi crasseux couronnant une personne crasseuse, l'œil et ...
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